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L’intimidation

Depuis plusieurs années, on en entend de plus en plus parler, l’intimidation. Malgré tout ce qui est mis en place, ce phénomène existe toujours. Pour écrire ce qui suit, j’ai parlé à deux jeunes ayant vécu ou observé de l’intimidation, je retranscrirais ce qu'ils m’ont confiés de mon mieux.

 

  1. Pour vous, c’est quoi l’intimidation?

C’est quand quelqu’un passe un mauvais moment, se sent mal dans sa peau, et qu’il décide de sortir ça sur les autres. C’est quand quelqu’un veut faire souffrir les autres pour se sentir supérieur, mieux.

   2. Connaissez-vous des gens qui se sont fait intimider?

Surtout des amis, par exemple un ami qui aimait plus passer son temps avec les filles plutôt que les gars parce que les gars lui causaient trop de trouble, et les gars le traitait de gay, de féminin comme si c’était mauvais. Ou encore à cause de l’accent français d’une amie, et les gens répétaient après elle avec un accent et une voix très aigue pour se moquer. Cette amie a même reçu des coups de poings dans le ventre parce qu’un gars disait qu’elle le cherchait avec son accent.

  3. Qu’est-ce qui pousse les gens à intimider les autres, selon vous?

Ils passent par un mauvais moment, ils pensent que faire souffrir les autres leur donne une sorte de pouvoir, les rend supérieurs. Ou encore ils voient que d’autres personnes différentes se sentent bien malgré leur différence et eux ne sentent pas aussi bien qu’eux et ils deviennent jaloux. Ils ne veulent pas que les autres puissent se sentir bien.

  4. Pouvez-vous nous donner des exemples d’intimidation que vous voyez à l’école ou dans votre vie?

Surtout des insultes, des blagues pas drôles, des commentaires. Par exemple quelqu’un fait un commentaire, et quand tu le confrontes il répond « Non, mais c’était juste une blague. ». Parfois ils se moquent de l’accent français ou encore ils cachent tes souliers pour que tu ne les retrouves pas ou qu’ils soient jetés par le concierge.

  5. Qu’est-ce qui devrait être fait contre l’intimidation selon vous?

Il faudrait confronter la personne avec un public, que tu lui demandes « Pourquoi tu me dis ça? Pourquoi tu fais ça? ». Si la personne ne prend pas la situation au sérieux, essaye de te dire que c’était des blagues, il faut que tu lui fasses comprendre la sériosité de la situation.

  6. Qu’est-ce que vous avez vécu comme intimidation?

Des commentaires, des insultes, des moqueries. Parfois des menaces comme si tu ne me donnes pas des bonbons ou de l’argent je vais aller dire à ton crush que tu l’aimes. Ou je vais dire à tout le monde ce que tu as fait en cinquième année. Même une de mes amies s’est retrouvée avec du Purell dans les yeux et a dû aller aux urgences, la personne responsable de ça a été renvoyée.

 

  7. Qu’est-ce que vous avez ressenti?

De la tristesse, beaucoup de tristesse, parfois on pleure à cause de ça. Aussi de la colère et l’envie de frapper en retour, de rendre les coups. Et également un peu de peur, pas spécialement la peur de l’intimidateur seul, mais que ses amis viennent se mettre sur ton dos et qu’il y en ait plus.

 

Même avec toute l’horreur qui peut être vécue par certains à cause de l’intimidation, il ne faut pas oublier que les personnes qui intimident ne se sentent pas bien elles-mêmes la plupart du temps. Donc il faut toujours agir en prenant cela en compte. Sinon c’est ce qui finit cette chronique sur l’intimidation, en espérant que certains auront le courage de dénoncer ou se rendront compte de ce qu’ils vivent.

 

Références

• Ligne Aide Abus Aînés : https://www.aideabusaines.ca/

• Jeunesse, J’écoute : https://jeunessejecoute.ca/

• Interligne [Gai Écoute] : http://interligne.co/

• Ligne Parents : http://ligneparents.com/

• Suis-je victime d’intimidation ? : https://www.mfa.gouv.qc.ca/fr/intimidation/suisje_victime_intimidation/

• Je suis un témoin, un proche ou un intervenant : https://www.mfa.gouv.qc.ca/fr/intimidation/temoin-procheintervenant/Pages/index.aspx

• Est-ce que j’intimide? : https://www.mfa.gouv.qc.ca/fr/intimidation/auteur-intimidation/Pages/index.aspx

• Formation en ligne – Intimidation :https://www.formationlutteintimidation.com

Par Rose-Marie Cantin

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Pourquoi j’aime l’hiver

Sachant que la plupart des Québécois adorent aller se réfugier à l’ombre des palmiers sur les plages étouffantes lors de la semaine de relâche, je ne pense pas que je vais un jour ressentir ce besoin, puisque j’aime l’hiver.

Pourquoi? La première réponse qui me vient à l’esprit, est mon plaisir coupable, mon péché mignon, pousser les gens dans la neige molle. Je sais, ce n’est pas un comportement très civilisé, mais qu’y puis-je? C’est tellement drôle, et s’ensuit une bagarre amicale. À la fin, nous sommes tous recouverts de neige et hilares.

Deuxième réponse : le ski de fond est un de mes sports préférés, surtout grâce à mon père qui me traine à des leçons depuis que je suis petite. Je ne vous cacherai pas qu’au début j’aurai préféré écouter la télé confortablement dans mon fauteuil, à l’abri du froid. Mais au fil des années je m’y suis fait, et maintenant la perspective d’une sortie m’enchante. Aussi, pouvoir admirer la nature sous son manteau de neige c’est mirifique.

Troisième réponse, la beauté de cette saison m’émerveille. Je sais que notre automne bat aussi des records de beauté, sur ce critère ils arrivent ex-aequo. Mais la beauté froide et charmante de l’hiver, est merveilleuse. Vous savez, lors des premières neiges, lorsque les gros flocons dodus se posent mollement sur les routes pour qu’on se réveille au matin avec l’impression que la nature s’est endormie. Puis les piaillements des oiseaux matinaux viennent emplir l’air. Pendant ces moments, je ne voudrais pour rien au monde changer de pays, et je me trouve chanceuse d’être née dans un endroit aux quatre saisons.

Rose-Marie Cantin

Je vous présente Rose-Marie Cantin, une jeune rédactrice, vous pouvez la suivre dans les chroniques quotidienne du soleil une fois par mois.

Le temps des fêtes comme je le voit

Ce temps de l’année ou tous les magasins sont dévalisés par des consommateurs en quête de rabais. Un sapin de plastique ou naturel, est dressé devant chaque foyer familial, et décoré par petits et grands. Puis le soir du réveillon sont placés immenses et minuscules cadeaux, que les enfants vont toujours regarder en cachette pour voir ce qui leur appartient, on entend alors des, « Celui-là c’est le mien! » ou encore « T’es donc ben chanceux, t’as le plus gros! » et quand ça a dégénéré « C’est pas juuuuste! ». Lorsque les parents découvrent la scène, les chicanes stoppent et tout le monde fini satisfait et reconnaissant de ce qu’il a reçu. Puis sortent les histoires d’hiver des grands-parents. Ils nous embarquent dans des histoires enchantées et merveilleuses. Comment le peuple Québécois a maintes fois déjoué le malin, en étant plus malin que lui. Par la suite les enfants vont au lit et les adultes discutent, puis vont se coucher. Ensuite, dans le clair de lune, le Père-Noël passe et transporte des centaines de commandes dans un immense sac. Au matin, les parents admirent les yeux brillants de leurs enfants devant les cadeaux qui ont été déposés par le Père Noel au pied du sapin.

Puis, la Covid est arrivée, en plus de nous isoler, elle a détruit par une suite d’événements, Noël et plusieurs de nos traditions. Le temps d’un Noël, peut-être deux. Au moins certains ont trouvés un moyen de se voir quand même, par Zoom, Messenger ou tout autre moyen de communication. La solitude restait quand même pour ceux qui n’étaient pas entourés, même ceux avec une famille se sentaient un peu isolés. C’est normal étant donné que nous sommes habitués de nous voir régulièrement. Je ne suis pas psychologue mais je sais que c’est dur pour tout le monde. Mais comme les Québécois sont forts nous nous en sortiront,

avec une deuxième dose.

Par Rose-Marie Cantin

Les relations saines et malsaines

Quand on pense au mois de février, on pense bien entendu à la Saint-Valentin et à l’amour. J’ai donc voulu écrire une courte chronique sur les relations de couple. Plus précisément, sur les relations saines, les relations malsaines et la violence dans les relations.

Une relation saine c’est :

- Tu sens que tu peux être toi-même avec la personne.

- Vous êtes honnête l’un envers l’autre et êtes capable de communiquer librement et sans jugement.

- Tu es à l’aise avec l’autre, car il y a un respect mutuel.

- Tu te sens en sécurité avec l’autre.

- La personne t’encourage dans tes projets et te soutient lors des moments plus difficiles.

- Vous vous faites confiance et vous pouvez compter l’un sur l’autre

Une relation malsaine c’est :

  • Quand la personne te contrôle, te dis quoi porter, te dis quoi faire ou ne pas faire, avec qui tu peux être amis ou pas où tu as le droit d’aller, il te met de la pression, il peut aller jusqu’à utiliser la menace pour te forcer à faire ou ne pas faire certaines choses. Il n’accepte pas que tu lui dises non et il te pousse à faire des choses que tu ne voudrais pas nécessairement faire ou que tu ne te sens pas prête à faire.

  • Si la personne te frappe, brise tes choses, te pousse ou toute autre forme de violence physique.

  • Si la personne t’insulte ou te rabaisse, ne croit pas en tes capacités.

  • Si tu as l’impression de constamment devoir faire attention à ce que tu dis ou ce que tu fais pour ne pas déclencher des épisodes de colère de ton partenaire.

Pour démystifier la violence dans les relations, voici un lien qui précise tous les types de violence, car ce n’est pas vrai que la violence se limite à donner un coup à ton ou ta partenaire.

https://educaloi.qc.ca/capsules/la-violence-conjugale/

C’est normal de se disputer de temps en temps dans une relation et on ne peut pas être d’accord sur tout. Cela dit, certains comportements sont inacceptables et sont toxiques dans une relation.

Si tu as des questionnements sur ta relation, tu peux toujours m’appeler au 418-650-7780.

Il y a également Jeunesse j’écoute 24h sur 24, 7 jours sur 7 au 1-800-668-6868

Ressources pour les personnes victimes de violence https://educaloi.qc.ca/capsules/ressources-daide-et-daccompagnement-pour-les-victimes-dactes-criminels/

Groupe d’Aide aux Personnes Impulsives https://www.legapi.com/

Dans le cadre du mois de la nutrition, en partenariat avec le restaurant COLIBRI, nous avons voulu faire une chronique pour vous aider à maintenir de bonnes habitudes de vie en termes d’alimentation. À la Maison des jeunes, nous travaillons activement à responsabiliser les jeunes face à leur alimentation, en particulier à travers nos ateliers de cuisine, puisque nous sommes convaincues que les saines habitudes de vie favorisent le bien-être des jeunes.

Bref, voici 12 trucs pour manger sainement :

- Manger des aliments de base (non transformés) le plus souvent possible.

- Cuisiner ses repas le plus possible. Un truc pour y arriver est de se garder un moment dans la semaine pour se préparer des repas d’avance. Pas obligé d’être riz, brocoli, poulet tous les jours. Tu peux juste te préparer quelques aliments de base ou accompagnements (patates déjà cuites, légumes grillés, riz, salade de pâtes, salade de couscous, etc.) pour te simplifier la vie lorsque tu feras ton repas.

- Si tu n’as vraiment pas le temps de cuisiner, il y a des restaurants qui proposent des alternatives santé et délicieuses.

- Essayer de nouvelles recettes ou de nouveaux repas pour faire changement et ne pas se tanner de manger toujours les mêmes choses.

- Boire beaucoup d’eau est important lorsqu’on parle d’alimentation saine. Un truc pour boire davantage est de traîner une bouteille d’eau sur soi en tout temps. Même à la maison, pièce par pièce.

- Se préparer des crudités pour avoir quelque chose à grignoter sous la main rapidement.

- Varier ses sources de protéines (légumineuses, lentilles, noix, soya, poissons, volailles, viandes rouges) et privilégier les grains entiers.

- Regarder la valeur nutritive des aliments transformés qu’on consomme. Par exemple, vérifier si le sucre ou le sel vient dans les premiers ingrédients. Ce n’est probablement pas un choix santé si tel est le cas.  Faire attention aux aliments transformés qui se disent ‘’santé’’ et valider en regardant les ingrédients le plus possible.

- Privilégier les fruits aux collations sucrés.

- Introduire des aliments à base de plantes dans ton alimentation (Chili végé, sauce à spaghetti végé, etc.) C’est souvent moins gras, mais la teneur en protéine est égale.

- Essayer de mettre la moitié de ton assiette en légumes, le quart en protéine et le quart en grains entiers.

- Ne pas avoir d’aliments ‘’interdits’’ et se gâter avec une bonne pointe de gâteau une fois de temps en temps. Tout est une question d’équilibre et il est important de ne pas se priver.

En gros, nous pensons qu’il est important que les jeunes aient envie de prendre soin d’eux, entre autres par l’alimentation. Il ne s’agit aucunement de se restreindre, mais plutôt de voir l’alimentation comme une façon de se sentir bien dans notre quotidien. C’est dans cette même lignée de pensée que le chef du restaurant COLIBRI, Patrick, va venir donner un atelier de cuisine à la Maison des jeunes dans les prochains mois. Restez à l’affût!

 

Maude Chevalier, technicienne en travail social

Patrick Landry, chef du restaurant COLIBRI

 

Voici deux blogues de nutritionnistes, avec des recettes et autres contenus sur l’alimentation;

https://sciencefourchette.com/

https://libredemanger.com/

MOIS  DE  LA NUTRITION

Bonne journée de la terre à tous!

Afin de souligner cette journée importante, j’ai eu envie d’écrire une courte chronique sur l’environnement. Puisque je vois que c’est un sujet qui touche particulièrement les jeunes, j’ai voulu vous sensibiliser sur l’importance de prendre soin de notre planète. Je tiens également à remercier Andréanne du Conseil de Bassin de la rivière du Cap-Rouge qui nous a grandement aidé dans notre recherche. Donc sans plus attendre, voici des trucs pour réduire votre empreinte écologique.

  • Avoir une bouteille d’eau réutilisable plutôt que d’acheter des bouteilles d’eau en plastique.

  • Amener vos sacs réutilisables à l’épicerie ou lorsque vous allez magasiner. Acheter des aliments non-emballé le plus possible et amener vos propres sacs en filet pour ne pas utiliser les petits sacs de plastiques.

  • Acheter local le plus possible (autant dans la nourriture, dans les vêtements, etc.) pour éviter les transports de marchandise.

  • Privilégier les friperies aux grandes multinationales ou les épiceries de surplus alimentaire comme la fruiterie 440 aux épiceries traditionnelles.

  • Récupérer l’eau de pluie et la réutiliser pour arroser vos plantes, par exemple, pour éviter de prendre de l’eau potable.

  • Prendre des douches plus courtes, encore une fois, pour éviter de gaspiller de l’eau potable.

  • Amener votre tasse réutilisable lorsque vous vous achetez un café ou autre.

  • Essayer de ne pas surconsommer (acheter seulement ce dont vous avez besoins) et de réparer les choses quand elles sont brisées plutôt que de les jeter en d’en racheter des nouvelles.

  • Diminuer votre consommation de viande et privilégier une alimentation végé.

  • Marcher ou prendre votre vélo pour vous déplacer lorsque c’est possible plutôt que prendre la voiture.

  • Covoiturer le plus possible.

Bref, j’espère que ces astuces écolos vous auront aider ou du moins inspirer à apporter certains changements à votre quotidien. Prenez soins de vous et de notre planète!

Maude Chevalier, technicienne en travail social

journée de la terre

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Jardin

Bonjour à tous! Avec le beau temps qui s’en vient, nous pensons à l’été et avons hâte de faire nos jardins! En attendant, nous avons pensé vous donner des conseils jardinage pour avoir un jardin bien rempli cet été!

Les semis

À la fin de l’hiver, assurez-vous de semer les graines dans de petits pots ou dans un bac à cellules. Gardez-les dans un endroit chaud. Les semis peuvent être transplantés dès qu’ils ont produit trois ou quatre feuilles et qu’il n’y a plus de période de gel2.

Variétés plus faciles à cultiver

Les tomates, les courgettes et la laitue sont assez faciles à cultiver. Si vous n’avez pas les meilleures conditions d’ensoleillement, privilégiez les légumes à grandes feuilles vertes comme le chou frisé ou les épinards2.

Type de terre

Les légumes poussent mieux dans un triple mélange (Triple Mix), qui est fait de terreau mélangé à de la mousse de tourbe, et à l’occasion, à du sable ou à un fertilisant2.

Arrosage

Pour une bonne hydratation des plants, la terre doit être arrosée en profondeur. Vous saurez qu'il est temps d'arroser si, en enfonçant vos doigts dans la terre, vous constatez qu'elle est sèche à 5 cm de profondeur. Les plants en pots ne doivent pas être arrosés trop souvent. Veillez à ce que la terre ne soit pas trop humide entre les arrosages et à ce que l'eau ne s'accumule pas au fond du pot1. Si le drainage du sol est bon, vous n’aurez pas à vous inquiéter de trop arroser. Pour vérifier la qualité du drainage, creusez un petit trou, remplissez-le d’eau et vérifiez si elle s’écoule dans un délai raisonnable2.

Élagage

Les arbustes qui fleurissent au printemps doivent être taillés après la floraison. Ceux qui fleurissent en juillet doivent être taillés au début du printemps, avant que leur croissance reprenne. Vous pouvez retirer les branches et feuilles mortes en tout temps.

Les plants en hauteur

Les tuteurs sont toujours de mise pour les plantations en hauteur. Utilisez de nouveaux tuteurs chaque année, car ils peuvent héberger des champignons.2

Le paillis

Le paillis est essentiel pour éviter les mauvaises herbes et l’évaporation de l’eau. Employez de la luzerne, la canne à sucre ou une couche d’écorce compostée allant jusqu’à 5 cm d’épaisseur. N’oubliez pas de mettre du paillis seulement sur un sol humide pour maintenir l’humidité existante. Autrement le paillis empêchera la pluie d’atteindre les racines.2

Engrais

Transformez votre marc de café en engrais naturel. Dispersez-le dans votre jardin, il servira d’engrais naturel en se décomposant.2

1https://www.homedepot.ca/fr/accueil/idees-instructions/l-exterieur/pelouse-et-jardin/jardinage-101-pour-debutants.html#:~:text=Remplissez%20le%20trou%20avec%20de,que%20le%20sol%20se%20tasse.

2https://www.selection.ca/maison/jardinage/jardinage-les-meilleurs-conseils-pour-reussir-votre-potager/

Inclusion sociale
(ouverture à la différence)

Pour la chronique de juin, j’ai voulu parler de diversité culturelle et d’acceptation des différences. Je sais que nous avons fait énormément de progrès face aux différences, en général, dans les dernières années. Nous avons une société plus ouverte d’esprit, qui a de moins en moins de préjugés envers les minorités et les gens acceptent de plus en plus les différences. Cela dit, il reste énormément de chemin à faire et le racisme est encore présent dans notre société. Commençons par une courte définition du racisme :

‘’Théorie selon laquelle certaines races seraient supérieures aux autres. Exclusion résultant d’une façon de penser.’’1

Donc, pour lutter contre cet enjeu, voici quelques actions que vous pouvez faire :

  • Écoutez et amplifiez la voix des personnes de race noire. Voici un très bon podcast sur les différents enjeux du racisme systémique qui démontre bien comment certains préjugés sont encore présent dans la société. Nicolas Ouellet parle de son expérience en tant que personne de race noire. https://www.youtube.com/watch?v=NBBLlca5U_E

  • Dénoncer les discours haineux. Que ce soit en personne ou sur les réseaux sociaux, ce genre de discours n’a plus sa place en 2021.

  • ‘’Enseignez aux jeunes la compassion, l’équité et les droits de la personne. ‘’ Les préjugés et la haine ne viennent pas naturellement. Ce sont des comportements acquis qu’il est possible de changer. Le racisme est transmis socialement. Alors, donnez le bon exemple.’’ 2

  • Accepter les différences. ‘’Tout être humain a le droit de se sentir en sécurité, d’être valorisé et traité de façon juste.’’2

  • Lire pour apprendre sur les différents enjeux sociaux.

  • Prôner l’inclusion sociale c’est-à-dire prôner que les personnes de race noire, entre autres, puissent avoir un sentiment d’appartenance, puissent être acceptés (pour qui ils sont) et puissent se sentir valorisé dans la communauté3, entre autres.

Pour finir, je tiens à mentionner que je ne suis pas une experte dans le sujet, mais je tenais tout de même à en parler aujourd’hui. Et n’oubliez pas que chaque petit geste fait tranquillement avancer les choses.

1https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/racisme/#definition 

2 https://www.unicef.ca/fr/blog/cinq-facons-lutter-contre-racisme

3 https://nbacl.nb.ca/module-pages/pourquoi-linclusion-sociale/?lang=fr

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Ta santé mentale dans le temps des fêtes

La dernière année a été haute en émotions, pleines de rebondissements et pour certains, peut-être pas à la hauteur de nos attentes. La pandémie mondiale et les mesures de santé mises en place par le gouvernement ont fait en sorte que nous avons dû modifier nos plans et nos projets maintes et maintes fois. Nous avons dû faire preuve d’énormément d’adaptation et on continue à s’adapter encore aujourd’hui, particulièrement avec le temps des fêtes qui arrive. Ce n’est pas une surprise pour personne; cette année, nous devrons fêter Noël différemment. Cela dit, il est extrêmement important dans une période comme celle-ci de prendre soins de nous et des gens qu’on aime. Voici quelques trucs qui pourraient t’aider à égayer ton temps des fêtes.

Suite à l’annonce d’hier, voici les deux premiers trucs de la semaine pour t’aider à profiter du temps des fêtes!

  1. Prends du temps pour faire des choses que tu aimes; Tu peux prendre le temps de lire un bon livre que tu as toujours voulu lire, aller marcher dans ton quartier pour voir les décorations de Noël des maisons, écouter des films de Noël avec un chocolat chaud et une grosse doudou, cuisiner des biscuits de Noël et les décorer. Peu importe ce que tu as envie de faire, prends au moins un moment par jour pour faire quelque chose qui te fait du bien.

  2. Appelle ou facetime les membres de ta famille ou amis que tu ne pourras pas voir dans le temps des fêtes. Même si ça peut nous paraître bizarre sur le coup, ça fait toujours du bien de prendre du temps pour les gens qu’on aime. C’est important d’être bien entouré et d’avoir des gens sur qui compter. Et je te le dis, ça va leur faire autant de bien qu’à toi!

  3. Prends soins de toi. On le sait tous les bonnes habitudes de vie c’est important. Mais on ne le dira jamais assez! Pour vrai, bien manger, faire du sport, bien dormir, c’est comme ça que tu vas te sentir le mieux, que tu vas avoir de l’énergie pour remplir tes journées, que tu vas être bien dans ton corps et dans ta tête.

  4. Avant de te coucher, prends le temps d’écrire cinq choses pour lesquelles tu es reconnaissant dans ta journée. Fais cet exercice le plus souvent possible. Au fil du temps, ça aide à réaliser combien les petites choses simples de la vie peuvent nous rendre heureux. Si cinq c’est trop, commences par une par jour.

  5. Nous devons rester chez nous avec notre famille immédiate (parents, frères et sœurs) (s’ils vivent encore à la maison) pour Noël. Pourquoi ne pas faire des jeux de société en famille? Ça peut vraiment rendre une soirée ennuyeuse en une soirée vraiment le fun.

  6. N’hésites-pas à demander de l’aide si ça ne feel pas. Ne te gêne pas d’appeler un ami ou une personne de confiance pour parler quand ça ne va pas. Il y a également pleins de ressources qui peuvent t’aider si tu ne te sens pas bien ces temps-ci ou si tu as des questionnements.

 

Appel 1 800 263-2266

Textos 514 600-1002

Ligne pour les parents 1 800 361-5085

Centre de prévention du suicide 418-683-4588

Centre de crise de Québec 418 688-4240

 

C’est important de se rappeler qu’il y a toujours du positif peu importe la situation.

Bon temps des fêtes à tous!

 

Maude, intervenante

Technicienne en travail social

Pour me rejoindre, 418-650-7780

BONNE ANNÉE!

Bonne année 2021 à tous! Il est temps de commencer l’année en force après avoir profité des vacances de Noël. Je ne suis sûrement pas la seule qui s’est fait une longue liste de résolutions et d’objectifs pour la nouvelle année. Pour vous aider à tenir vos résolutions tout en profitant de l’hiver et du temps froid, je vais vous partager quelques trucs au courant de la semaine.

  1. Ne te sens pas mal si tu as une moins bonne journée. Accepte-le, vis tes émotions. Dis-toi que demain ça va aller mieux. Repose-toi si tu sens que c’est ce dont tu as besoin. C’est normal de se sentir plus fatigué en hiver. Il n’y a pas beaucoup d’heures de lumière naturelle et cela nous affecte tous à différents degrés. Tu peux essayer de te coucher plus tôt l’hiver si tu penses que c’est ce dont ton corps et ton esprit auraient besoin. Tu peux également mettre sur papier tes émotions et comment tu te sens. Ça peut t’aider à mieux comprendre ce que tu vis.

  2. Essaye un sport d’hiver. Ou juste la marche. Respirer de l’air frais ça fait tellement du bien. Ça aide à mettre les idées en place dans sa tête et à apprécier l’hiver!

  3. Sois indulgent envers toi-même. Avec les nouvelles résolutions de l’année, on se met souvent beaucoup de pression sur les épaules pour TOUTES les réussir en même temps. Tu peux essayer de focaliser sur une résolution à la fois et de l’intégrer tranquillement à ta routine. Il faut être réaliste par rapport à nos résolutions et être discipliné par rapport à la réalisation de ceux-ci. Mais c’est important de ne pas trop s’en demander et de s’écouter.

  4. Finalement, on ne le dira jamais assez, mais c’est important de maintenir de bonnes habitudes de vie (bien manger, bouger, bien dormir, apprendre à gérer ton stress). Parce que c’est avec un esprit sain dans un corps sain que tu seras le plus motivé et que tu te sentiras le mieux.

 

Et c’est ça le plus important; que tu te sentes bien.

Bonne année!

 

Maude Chevalier, technicienne en travail social

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Dépistage

Il fait beau, il fait chaud, l’été arrive et les partys commencent! On le sait, la saison chaude nous donne envie de sortir et de voir nos amis et c’est correct ainsi. Par contre, après une soirée arrosée (ou non!) on peut consentir à des relations sexuelles souvent pas trop planifiées ni protégées. L’important, c’est de bien gérer après pour ne pas avoir de regrets. Mais essaie toujours d'avoir un condom sur toi pour ne pas être mal pris au moment venu.

C’est pourquoi j’avais envie de vous informer sur le dépistage. Je crois que pour plusieurs, ça peut faire peur parce qu’on ne sait pas réellement ce que c’est. Alors soyez tout de même responsables et prudents cet été, mais soyez informés d’abord et avant tout!

 

Pourquoi se faire dépister?

 

Pas de symptômes? Donc, pas d’infection transmissible sexuellement et par le sang (ITSS)?

Pas vraiment non. En fait, chacun peut vivre des symptômes différents pour une même infection. Parfois, la personne sera infectée sans le savoir parce qu’elle n’a aucun symptôme! Il est donc important d’aller voir un médecin si vous avez des symptômes qui ressemblent à ceux d’une ITSS afin d’avoir un examen médical. Si vous ne voyez aucune différence après avoir eu une relation sexuelle non protégée, il est important d’aller faire un test de dépistage afin d’avoir l’heure juste. Il est également important d’aller se faire dépister si vous avez plusieurs partenaires, si vous avez une relation stable avec un seul partenaire et voulez arrêter d’utiliser le condom ou si vous avez eu une relation sexuelle avec une personne qui a une ITSS. L’utilisation du condom, peut importe vos comportements sexuels, demeure la solution la plus efficace face aux risque de transmission d’ITSS.

 

Tous autant à risque?

 

Certains groupes dans la population se trouvent être plus à risque d’être touchées par une ITSS, et ce, pour plusieurs raisons. On y compte entre autres les jeunes de 25 ans et moins qui sont sexuellement actifs et les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes.  Pour ces groupes, il est conseillé d’avoir des dépistages plus fréquents, mais l’avis de votre médecin prime. Votre médecin devrait donc être au courant si votre situation se rattachent à ces comportements sexuels.

 

C’est quoi un dépistage et comment en faire un?

 

Un dépistage consiste en un ‘’ensemble d'examens et de tests effectués au sein d'une population apparemment saine afin de dépister une affection latente à un stade précoce.’’₁ Lorsqu’on parle d’un dépistage d’ITSS, il est très fréquent de voir une première consultation avec une infirmière ou autre professionnel d’ordre médical afin d’établir une image générale de la situation présente. Par la suite, un prélèvement doit se faire afin de faire l’analyse de la présence ou non d’une ITSS. Ce prélèvement peut se faire avec un échantillon d’urine, d’un prélèvement sanguin ou d’une culture. Une culture est un échantillon de sécrétions ou de cellules qui proviennent de différents endroits du corps (vagin, gorge, anus, etc.) selon le type de relation sexuelle à risque performée. Les différents tests de dépistage varient également selon les symptômes et la situation de la personne. Différents tests dépistent donc différentes ITSS et il n’est souvent pas nécessaire de faire tous ces tests lors d’un dépistage. 2 à 10 jours plus tard, les résultats sont reçus par l’établissement médical et un de ses professionnels vous contacte pour vous donner les résultats en personne ou par téléphone en s’assurant que ce soit confidentiel. Le traitement, si nécessaire, ainsi que la suite des choses dépendra des résultats. Résultat positif? Possible prise de médication pendant un certain temps. Avertissez les partenaires que vous avez eu qu’ils sont à risque! Il n’y a pas place au jugement, puisqu’un comportement sexuel à risque peut mener à une ITSS peut importe la personne. Il n’y a pas de honte, il faut simplement agir.

 

Mes parents, au courant?

 

Faire un test de dépistage, c’est personnel. ‘’ Les jeunes de 14 ans et plus peuvent passer des tests de dépistage et suivre un traitement sans autorisation parentale. En effet, dès l’âge de 14 ans, un jeune peut consentir seul à des soins de santé.’’₂ Donc, avant 14 ans, un de vos parents ou autre tuteur légal se doit d’autoriser l’obtention d’un test de dépistage. Dès l’âge de 14 ans, vous pouvez le faire de façon confidentielle. De plus, c’est gratuit et l’on retrouve dans toutes les écoles secondaires de la région des infirmières scolaires du CIUSS de la Capitale-Nationale qui font sans jugement et de façon confidentielle le dépistage des ITSS. Il existe également plusieurs cliniques jeunesse qui peuvent vous accueillir. Vérifiez, par contre, si la prise de rendez-vous est nécessaire.

 

En résumé, mieux vaut prévenir que guérir, mais mieux vaut dépister que regretter!

 

Aliane Roy, Maison des Jeunes de Cap-Rouge

https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/d%C3%A9pistage/23787

https://www.quebec.ca/sante/conseils-et-prevention/depistage-et-offre-de-tests-de-porteur/depistage-des-itss#c779

https://centrecura.com/depistage/?utm_source=google&utm_medium=cpc&utm_term=d%C3%A9pistage%20mts&ct=1&utm_campaign=cyberpublicity&utm_campaign_id=4826

https://www.ciusss-capitalenationale.gouv.qc.ca/sante-publique/maladies-infectieuses/itss/depistage-itssb

La rentrée scolaire

Il peut être stressant de commencer une nouvelle année scolaire, surtout quand on ne sait pas trop ce qui nous attend à cause de la fameuse pandémie. J’ai pensé écrire quelques conseils qui peuvent aider à diminuer le stress face à une nouvelle année scolaire, qu’elle soit à la maison ou en présentiel;

  • Va visiter l’école, voir tes locaux à l’avance et ton arrêt de bus pour être sûr ne pas te perdre.

  • Achète tes fournitures scolaires à l’avance pour ne pas être stressée à la dernière minute.

  • Mange un bon déjeuner pour avoir l’énergie pour commencer ta journée. Assure-toi d’avoir un bon dîner également pour ton après-midi.

  • Essaie d’introduire le sport dans ta routine. Ça fait TOUJOURS du bien de bouger. Pour vrai. Tu vas être plus concentré dans tes cours, tu vas mieux dormir le soir, ton stress va diminuer, etc.

  • Assure-toi d’avoir un espace ‘’travail’’ chez toi autant pour tes devoirs que pour suivre tes cours en ligne si jamais la pandémie oblige, même si tu n’as pas de bureau. Ça peut être la table de la cuisine ou n’importe quel espace où tu sais que quand tu es là, tu es en ‘’mode école’’.

  • Ne te prends pas trop la tête avec ça. L’école c’est important, mais la santé mentale ça l’est encore plus! L’important, c’est de faire de son mieux.

  • Donne-toi des trucs d’études, organise ton temps et garde du temps pour toi aussi là-dedans. En gros, essaie d’être autonome et organisé, cela va également diminuer ton stress.

  • Instaure une routine. Par exemple, le matin tu te prépares pour l’école (douche, déjeuner, etc.). Le soir, tu arrives, tu manges une collation, tu vas prendre une marche, tu fais 45 minutes de devoirs, tu soupes, tu prépares tes choses pour le lendemain et tu relaxes après le souper.

  • Choisis tes vêtements la veille. Le matin, on est pressé l’école commence tôt, donc ça aide toujours d’avoir ses vêtements prêts, et ce, même si tu restes à la maison. Tu te sentiras plus productif si tu ne restes pas dans ton pyjama toute la journée.

  • Couche toi tôt pour être en forme le lendemain. Essaie d’avoir un horaire de sommeil régulier, tu te sentiras plus en forme de cette manière et tu seras plus concentré et productif dans tes cours.

  • Parle avec quelqu’un de ton stress. Ça fait toujours du bien et ça aide à remettre les idées en place. Mettez-vous en mode solutions pour les choses qui te tracasse et essaie ensuite de les mettre en place.

  • Essaie de limiter ton temps passé devant un écran. Surtout si tu fais l’école à la maison, tu passes déjà toute ta journée d’école devant l’écran. Prends une pause, va prendre une marche, lis un livre, fais un casse-tête, prépare quelque chose à manger, mais prends une pause d’écran une fois de temps en temps. Essaie de lire un livre le soir plutôt que de ''scroller'' sur Tik Tok. ;)

  • Célèbre le début de la rentrée! On fait toujours une fête de fin d’année, mais pourquoi pas une fête de début d’année? Ça va te mettre dans un état d’esprit positif.

 

N’hésite pas à venir nous jaser à la Maison des jeunes si jamais tu en ressens le besoin. On est toujours là pour toi!

Bonne rentrée à tous!

Maude Chevalier, technicienne en travail social

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La rentrée est amorcée depuis quelques jours déjà et cela peut être un moment angoissant pour certaines personnes. Il y a beaucoup de nouveauté, donc cela demande beaucoup d’adaptation. La Covid ajoute en plus son lot d’incertitudes et cela peut amener du stress et, au fil du temps, de la détresse. Dans le cadre de la journée mondiale de la prévention du suicide, j’ai voulu écrire un article afin de vous aider à reconnaitre les personnes à risque.

Si vous connaissez une personne vivant des difficultés, il se peut qu’elle présente certains signes de détresse psychologiques : l’impatience, l’isolement, l’augmentation de la consommation d’alcool ou de drogue, la fatigue et une perte d’intérêt peuvent être des signaux d’alarme qu’il faut prendre au sérieux.1

Si ces signaux sont présents depuis déjà quelques semaines, il est important de diriger la personne vers une ressource d’aide.1 Pour plus de conseils sur la façon d’accompagner une personne qui démontre des signes de détresse, veuillez-vous référer au site du CPSQ noté ci-dessous.

Si vous vous reconnaissez dans les symptômes décris ci-dessus ou si vous connaissez quelqu’un démontrant des signes de détresse, n’hésitez pas à aller consulter un professionnel de la santé ou à appeler aux numéros ci-dessous :

Info-social 811 options 2, 24h : Offre un service de consultation téléphonique avec un intervenant. Il peut aussi intervenir en situation de crise ou vous orienter vers le bon service.2

Consulter un médecin de famille : Offre d’évaluer votre état de santé et faire une prescription si nécessaire. Il peut vous orienter vers un intervenant psychosocial ou un service spécialisé.

CLSC

Si vous n’avez pas de médecin de famille, vous pouvez prendre un RDV au CLSC.

Je vous invite à aller voir notre site Web lasymbiose.com, nous avons une section sur les différents organismes du milieu pouvant aider les jeunes vivant des difficultés.

Prenez soins de vous!

1 https://www.cpsquebec.ca/comment-aider/#proche

2 https://www.ciusss-capitalenationale.gouv.qc.ca/services/situation-difficile-detresse/situation-difficile

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